God hates me. He fed me with all kind of things and left me empty
Will Young - Leave right now
envoyé par guy-paul. - Clip, interview et concert.
Trois semaines de vacances pour Noel c’est pas génial ça ?
Bref il est l’heure de faire un bilan de cette année qui
a été riches en rebondissements : prépa, concours, déménagement à Tours etc.
Mais reprenons depuis le début.
L’année a très mal commencé pour moi j’étais malade pendant
presque deux mois (un cocktail de bronchite et de rhino-pharyngite), ce qui m’a
forcé à sauter plein de cours, ce qui est assez suicidaire quand on est en
prépa. Et puis mon ami a aussi été malade et sa chaise vide n’était guère d’un
grand soutient, j’ai même cru qu’il ne reviendrait jamais. Puis l’année passe
vite et on se retrouve …aux concours. Beaucoup de pressions mais aussi beaucoup
d’excitation. Ce pour quoi on s’était battu pendant deux ans était enfin
arrivé. C’est fou mais j’ai adoré les concours surtout les oraux avec la
tournée des écoles. Je suis fière de ce que j’ai fait en prépa, ça a été une
sacrée expérience. Puis ça y est j’ai eu mon école ! J’ai alors quitté le
cocon familial pour aller m’installer à Tours, bonjour pâtes, steaks hachés et
cordon bleu toutes les semaines. Mais bon j’aime la vie à Tours je ne suis pas
déçue.
Et niveau musique, de nombreuses pépites ont rythmé cette
année.
La révélation de cette année est sans doute These New
Puritans. Beat Pyramid m’a accompagné pendant toute ma maladie, le problème est
que j’avais l’impression d’être encore plus dans les vaps en écoutant certains
titres, du genre Doppelganger. Pendant
les concours j’écoutai tous les jours dans le RER Scarlet’s Walk de Tori Amos
et Primary Color de The Horrors. Pendant les oraux c’était Bombay
Bicycle Club à fond, I am ready to owe you anything. Et mon déménagement
était rythmé par Roisin Murphy (pour danser) et par Sufjan Stevens. Ca faisait
des années que j’entendais parler ce cette artiste, je suis tombée amoureuse instantanément,
I can see a lot of light in you . Pour cette fin d’année j’écoute beaucoup The
Beta Band (oui la pub de yahourt), et la révélation Wild Palms (à surveiller).
A part ça, je suis complètement obsédée par Queer as Folk. Le fait de ne pas avoir Internet chez moi à Tours m’a forcé à télécharger une série à regarder le soir. Il ne me reste que deux épisodes et ce sera la fin. Problème, la fin est tragique puisque la série se clôt sur la mort d’un des personnages. Je sens que je vais déprimer comme à la fin de Six Feet Under.
Vidéo :
Guilty Pleasure, j’adooooore Will Young. Leave right now est une
ballade larmoyante mais qu’est-ce que c’est beau !